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| Parc de l'Orangerie - Strasbourg |
L'orangerie avait hier après midi un air guilleret et des allures printanières. Le nuage d'eau projeté par le geyser jouait avec les rayons du soleil, offrant au yeux le spectacle d'un mini arc en ciel qui donnait l'impression de jaillir du lac.
Que faire d'autre que s'asseoir sur l'herbe et de savourer ce moment ?
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| JEAN CLAUS, LES AMOURS DU POÈTE, 1993 |
A proximité du pavillon Joséphine, la fontaine de Jean Claus, Les amours du poète, réalisée en 1993 en polyester et fibres de verre.
L’œuvre emprunte son titre au Lied de Schuman composé d’après un poème de Henrich Heine.
Si ça vous tente : A lire ici
Il n'y a pas de fontaine l'hiver, et le bassin est encombré de feuilles mortes et de branches ...
Encore une de ces œuvres dites modernes qui me perturbe un peu les yeux. Mais celle là au moins m'amuse ...
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| JEAN CLAUS, LES AMOURS DU POÈTE, 1993 - Détail |
Magique et magnifique cet arc en ciel qui vient se noyer... Tu as eu de la chance, au bon endroit au bon moment.
RépondreSupprimerMais alors le chaudron, il est sous l'eau ?
Quant à la fontaine, j'aime beaucoup ta vue rapprochée des visages, qui me font penser à Cocteau.
Tu as vu que l'auteur avait un blog ?
@PASTELLE :
RépondreSupprimerLa chance, souvent le premier talent d'un photographe ! :-)
Tu la trouves déséquilibrée ? Peut-être après tout. Elle est tellement bizarre. On verra au printemps avec le le bassin et la flotte sous un autre angle. Je ne me souviens plus trop de la tronche que ça a en version fontaine.
Le blog de l'artiste tu as raison, je le mets en lien pour les curieux ...
https://www.jeanclausartistepeintresculpteur.com/Jean_Claus_artiste_peintre_sculpteur./Jean_Claus.html
Je préfère aussi le cadrage serré. Cocteau ? Pourquoi Cocteau ? J'ai aussi ça en tête mais je ne sais pas pourquoi .....
Tu as une façon d'occuper tes loisirs qui force le respect. 😉
RépondreSupprimerSérieusement, tant que l'oeil humain saura se tenir au niveau de ta première photo je continuerai à lever la patte sur ce que produit l'intelligence artificielle.
Concernant Jean Claus, je t'avoue n'être pas fou du baroque (et encore moins du baroque contemporain / encore moins de ses ramasse-poussière...). Disons que ton cadrage serré - surtout en noir et blanc - le sauve.
Bonne suite...
Je salue l'arc en ciel mais trouve la statue déséquilibrée. On dirait qu'elle va tomber vers la droite. Remarque que l'auteur emploie lui-même le terme d'amphigouris ce qui m'incite à penser qu'il n'est pas clair dans sa tête
RépondreSupprimerPas trop fan non plus du "corps" mais en est-ce bien un qui paraît incroyablement chiffonné mais tous les goûts sont dans la nature et les deux sourires qui clôturent ton billet sauvent la donne.
A revoir au printemps avec eau et soleil si possible.
L'artiste a voulu donner l'impression que les visages flottent dans l'air? Plus on regarde plus on s'attend à ce qu'ils tombent... En vain!
RépondreSupprimer@GEHEM :
RépondreSupprimerTu veux parler de ma façon de m'asseoir dans l'herbe ? :-)
Ceci dit ce n'est pas je pense dans ce registre de création et d'inspiration que l'IA est le plus à craindre.
Je n'ai pas encore croisé un seul Strasbourgeois qui apprécie cette sculpture. Il n'y a que resserré au 140 qu'elle devient acceptable, c'est à dire quand on ne la voit plus ! :-)
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@PHOTONANIE :
Moi j'ai pensé ce jour là à deux visiteurs du futur venus par téléportation, mais victimes à l'arrivée d'un bogue de la machine réceptrice qui s'est un peu emmêlé les circuits dans la restitution des deux corps !
Comme dit à @Géhèm, bascule en N&B et braquet à 140 pour sauver la face .
Bien chef c'est noté, avec eau et soleil pour la prochaine ... :-)
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@MO :
J'imagine bien qu'il y a une autre interprétation que celle j'ai suggéré à @Photonanie ! Lis Heine, écoute Schuman, et alors peut-être entreras tu en communion avec cette œuvre ! :-)
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